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La Subaru BRZ (seconde génération) débarquera cet automne

Subaru BRZ (teaser)

La GT86 et la BRZ, ont bien un avenir, ça on le sait déjà. Subaru vient justement de partager un bout de la la seconde génération de BRZ, qui sera lancée dans les prochains mois. Après de nombreuses rumeurs de disparition et des teasers en tout genre, le coupé sportif nippon à transmission arrière n’est pas mort et va bien faire son retour !

Subaru dévoile aujourd’hui une première image de la toute nouvelle BRZ, qui sera dévoilée dans le courant de l’automne. Comme pour la première génération, Subaru s’associe à Toyota. Toyota sera en charge du châssis, et pourrait même emprunter quelques éléments de la Supra pour minimiser ses coûts. Subaru aura la charge du développement moteur, dont on ne connait pas encore les détails techniques.

Dans la presse spécialisée japonaise, certaines rumeurs (sérieuses) prétendent que Subaru utilisera le même 2.4L turbo d’origine Subaru (Boxer) qu’on trouve dans les actuels Ascent, Legacy et Outback. On parlerait ainsi de 260 chevaux et 375 Nm de couple. L’arrivée d’un turbo amènerait ainsi un couple plus important à la BRZ. Un gain de couple très attendu par certains qui disent avoir fait le tour des 200 chevaux actuels.

Sera-t-elle commercialisée en France ?

Pour ce qui est du Continent américain, il n’y a aucun doute. Elle a d’ailleurs été aperçue à de nombreuses reprises aux Etats-Unis et au Canada. La voiture aurait même du être présentée sous son épais camouflage lors du SubieFest 2020, annulé à la dernière minute à cause du COVID-19.

Mais pour ce qui est de l’Europe, et plus précisément de la France, difficile à dire. L’enjeu pour le constructeur ne change pas : si les rejets en CO2 de la BRZ sont trop importants, le malus écologique 2021 et 2022 ne fera qu’une bouchée du coupé sportif, comme la Ford Mustang (à partir de 48 800 €), future victime d’un malus qui s’élèvera à 40 000 € dès l’année prochaine, soit 82% de son prix. Si Subaru opte pour un moteur turbo, il sera compliqué d’afficher des rejets suffisamment faibles. Or, une microhybridation pourrait aider la nipponne à voir le jour en Europe et en France…

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